le jardin

c'est que je vous épie depuis que le roi de France m'a envoyer en mission ici il y a à de ça deux ans, mais je ne travaille plus pour lui car il a tuer mon plus jeune frère.

-Vous m'épiez?!?!

Elle regretta aussi ce qu'elle venait de dire. Il avait perdu son frère cadet et tout ce qu'elle avait dit c'était qu'il l'épiait. Alors là, sa mère aurait été hors d'elle si elle l'avait entendu.

-Je...je...je suis vraiment navrée.

no c'est rien je comprend votre colère, devoir épousé un être comme moi qui à dut tuer pour survivre, car ma tête est mise à prix en France pour le meurtre d'un homme qui avait essayer de me tuer.

-Donc, vous allez resté en Angleterre je suppose.

Elle le regarda dans les yeux et lui sourit.

-Je ne suis pas en colère. Je suis surprise plus que d'autre chose. Certes, ce n'est pas plaisant de savoir que votre fiancé est recherché, mais je ne vois rien d'épeurer sauf si bien sûr vous retournez en France.

je n'y retournerai pas sauf si votre père m'y oblige car je suis tout de même un soldat anglais. Mais je vous promet de resté près de vous le plus souvent possible et de faire tout ce que vous voulez car avant tout je suis votre plus fidèle serviteur.

-Alors j'aimerais que vous fassiez une chose qui m'est très importante.

Elle lui sourit et alla s'asseoir sur le banc.

-Je désire que vous me tutoyez. Nous passerons le reste de notre vie ensemble alors aussi bien être claire. Je ne veux pas que vous me vouvoyez. Ça me fait trop bizarre et j'ai l'impression d'encore moins vous connaître.

d'accord je vais faire un effort pour cela

-Merci.

Elle lui sourit et se leva.

-Je dois y aller. Je suis sûre que ma gouvernante me cherche partout comme à son habitude. Au revoir.

Elle fit une légère révérance et partit vers le château.

William se leva et alla regardé en bas de la muraille et vit la jeune femme qu'il avait rencontrer lors de son arrivé en angleterre.Il décida d'aller voir ce qu'elle fesait là, surtout qu'elle n'est qu'une marchande espagnole

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 18/07/2006

Cassandre esquiva les servantes en se glissant dnas les jardins, l'heure du repas approchait, mais la jeune fille voulait se retrouvé seule. Elle marcha un bon moment entre les fleurs, puis finalement, s'arrêta près d'un banc où elle prit place regardant un plant de rose rouge qui s'élevait fièrement devant elle. Elle ramena ses jambes sur le côté faisant bien attention d'emporter le bas de sa robe pour ne pas qu'il traîne sur le sol, puis laissa son regard dérivé sur chacune des roses devant ses yeux.