Les grandes portes

Le carosse contenant Emma, Amnétis, leur garde et le cocher passa les grandes portes qui étaient ouvertes. Les gens sortaient décorations pour fêter le mariage du prince. De partout des paysans les saluaient. Emma leur envoya la main.

William tourna le coin de la rue et vit la fille de son ancient maître. Il la salua en s'inclinant et continua son chemin. Il monta sur son cheval et les accompagnies jusqu'aux château.

Alors pas trop dure dirigé la France dit William avec un grand sourire, je crois que je devrais me présenté mais je suis sûr que vous avez déjà entendu mon nom, et si non mon surnom vous sera famillié. Au fait c'est mon futur beau frère qui va se marié dit il à Emma car elle était la seule des jeunes demoiselles qu'il conaissait.

hj: met un tirret stp quand tu parles

Emma le regarda fixement sans le reconnaitre.
- Non, mon courronnement n'a pas encore eu lieu alors je n'occupe que quelques fonctions en attendant. Oui présentez-vous mon cher, car je enh vous reconnait pas du tout.

hj: a ta place je ne dirais pas ton vrai nom, tu n'es pas recherché en france?? pour avoir voulu garder la reine d'angleterre pour toi tout seul.

je suis un vieil ami de votre père, un chevalier qui as été exilé, mais je ne vous veux aucun mal, je veux simplement vous invité à mon mariage avec la femme de ma vie la princesse Fiona.

Fiona avait tenu à aller elle-même acceuillir les princesses de France et elle s'approcha du carosse des princesses. Elle apperçut au loin son fiancé.

-Bonjour mesdames, dit-elle aux princesses. Je suis heureuse de vous acceuillir en Angleterre. Je m'excuse au nom de mon frère. Les préparatifs l'ont retenus, mais je vois que mon fiancé a déjà eu la politesse de s'occuper de votre acceuil.

Elle leur sourit chaleureusement, même si intérieurement elle n'avait que le désir de quitter cette foutue robe et de partir faire une promenade dans les plaines.

ce n'est rien Fiona, ce sont les filles d'un vieil ami.

-Un vieil ami?? Le roi de France, un vieil ami!

Elle sourit à l'idée.

-Je comprends maintenant pourquoi mon père a accepté aussi facilement si tous vos vieux amis ont un titre semblable.

Elle lui sourit et se tourna vers les princesses.

-J'espère que vous avez fait un bon voyage. Le bateau n'a pas été trop désagréable?

hj: oups, c'est vrai, j'ais carrément oublié d'aller poster en mer...

Emma salua la princesse.
- Non, la traversée a été rapide et confortable.
Elle se tourna vers le vieil ami de son père.
- Je serai ravie d'assister à votre mariage avec cette chère personne. Je suis sure que vous serez désolé d'apparendre que mon père, roi de France, est décédé au cours de la semaine dernière.

-Mon dieu! Le roi est décédé! En effet, les nouvelles de son décès n'étaient pas arrivés jusqu'à nous. Toutes mes condoléances. Ce doit être difficile pour vous.

Elle pensa comment elle se sentirait si ses parents venaient à mourir...c'était si incompréhensible cette mort.

-Que Le Seigneur prenne soin de lui.

Après une petite pause elle reprit la parole:

-Mais bon. Venez au château. Vos appartements sont prêts à vous acceuillir et après un aussi long voyage, je ne doute pas que vous souhaitiez vous reposer.

- En effet, cette mort fut dur à prendre. C'est pourquoi mes parents ne sont pas là ce soir.
Emma fit également une pause de silence songeant à ses valheureux souverains.
- Oui, je serai bien volontier pour me rendre à me appartements. Ma soeur et moi avons fait long voyage et sommes pas à l'encontre d'un peu de repos. Cochez rendez-vous au château. Nous nous reverrons là-bas, monsieur et dame Fiona.

william eu comme un éclair de joie dans son regard quand Emma avait dit que son père était mort. Bien sur il le détestait pour avoir mis sa tête à prix en France.

Je vous offre mes condoléances et ce casque que je devais lui porté la semaine prochaine, c'est le casque de son pire ennemis, je l'ai décapité de mes mains. Il tendit le casque avec un dragon incrusté au dessus de la visière à Emma et partit au galop prévenir l'arrivé de la reine.

Fiona, toujours entourée de garde à son grand désespoir, repartit vers le château. Elle adorait marché et rencontré les paysans qui la priait de parler de leur misère à son père. Bien sûr, elle respectait sa promesse et allait même jusqu'à donner de l'argent de ses poches aux plus pauvres. En s'arrêtant de temps à autre, elle arriva au château